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Une vie de cinéma
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Détails sur le produit
Broché: 512 pages
Editeur : Gallimard (21 février 2019)
Collection : HORS SERIE CONN
Langue : Français
ISBN-10: 2072799678
ISBN-13: 978-2072799679
Dimensions du produit:
20,5 x 3,3 x 14 cm
Moyenne des commentaires client :
5.0 étoiles sur 5
1 commentaire client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
132.256 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Bien que le titre en soit « Une vie de cinéma », il ne faut pas attendre de la part de Michel Ciment une resucée de son autobiographie (sous forme d’entretien) Le Cinéma en partage, sortie chez Rivages en 2014. Ciment a publié plusieurs monographies de cinéastes, de son très connu Kubrick (Calmann-Lévy) jusqu’au plus récent Jane Campion par Jane Campion (Cahiers du cinéma), en passant par Boorman, un visionnaire en son temps (Calmann-Lévy). Passé maître dans l’art de l’entretien, il aura réuni nombre d’entre eux au fil des ans, qu’ils couvrent toute une carrière – c’est le cas de Kazan et Losey, à présent réunis dans un seul volume chez Stock – ou qu’ils soient plus ponctuels – pour le cinéma américain, voir Une Renaissance américaine (Nouveau Monde), et pour les autres cinématographies l’indispensable Petite planète cinématographique chez Stock. Hors entretiens, une bonne partie des textes écrits au fil des années sur le cinéma américain ont en outre été recueillis dans Les Conquérants d’un nouveau monde (Folio Gallimard, 2ème édition complétée en 2015).Ciment, certes controversé dans le petit cercle de la cinéphilie, aura gagné ses galons de critique-interviewer émérite, et aura eu droit à de nombreuses publications en recueil. Ce n’est pas moi qui regretterai cet état de fait, mais il faut bien reconnaître qu’il ne restait donc pas tant de textes que cela à rassembler en volume. On comprend qu’il ait souhaité le faire, et parmi ces textes certains sont précieux. Si d’autres le sont un peu moins, ce n’est pas tant que leur qualité soit bien moindre, c’est qu’ils s’avèrent un peu courts – il n’y a pas que des articles de revue un peu longs, certains datent du temps où Ciment écrivait pour la presse hebdomadaire (notamment L’Express) ou bien sont des hommages écrits par exemple pour des plaquettes de cinémathèques.Si les entretiens avec les cinéastes ont été reproduits ici et là , en particulier dans les ouvrages recensés ci-dessus, c’est moins le cas des entretiens avec des comédiens. C’est un plaisir de trouver reproduits ici les entretiens avec Jeanne Moreau et Jean-Louis Trintignant, dans lesquels on les retrouve tels qu’en eux-mêmes. Trintignant, jamais la langue dans sa poche, parle de ses metteurs en scène avec une franchise peu commune, et raconte drôlement comment il a été sollicité pour ceci, cela et autre chose (Le Dernier Tango à Paris, Rencontres du 3ème Type, Apocalypse Now…). Autre entretien qui n’avait jamais été reproduit ailleurs que dans Positif : celui avec Serge Gainsbourg, à propos de ses films, et en particulier des deux derniers, assez mal aimés. Ciment semble avoir trouvé l’homme et les moments qu’il a passés avec lui délectables, et cet entretien valait d’être conservé, au même titre que ceux des deux acteurs pré-cités. Les autres entretiens valent tout autant le coup, de celui avec Coppola (après la présentation d’Apocalypse Now à Cannes) à ceux avec trois écrivains tous trois Prix Nobel de littérature ayant eu partie liée avec le cinéma (Harold Pinter, Mario Vargas Llosa, Imre Kertesz). Si le film tiré d’Etre sans destin n’est aujourd’hui pas trouvable, on lira cependant avec profit ce que Kertesz dit de l’adaptation de son propre livre – la version de son scénario se trouve d’ailleurs chez Actes Sud et mérite qu’on la lise en regard du roman. Quant à Pinter, il répond aux questions de Ciment plus particulièrement sur l’adaptation qu’il a réalisée avec Jerry Schatzberg de L’Ami retrouvé de Fred Uhlman – un très beau film qui quant à lui se trouve enfin dans une bonne édition en dvd et en blu-ray (TF1 Vidéo) et qu’on aimerait voir sortir de son relatif purgatoire. Bref, pour ce qui est des entretiens, la sélection opérée par Ciment dans ce qui n’avait pas été publié semble impeccable, la plupart d’entre eux présentant un intérêt indéniable.Le recueil s’ouvre sur un reportage rédigé en 1977, « à la découverte du cinéma soviétique ». La mise en perspective de l’état des forces à ce moment-là est appréciable, mais évidemment la place dévolue à chaque cinéaste ou film important semble par trop limitée – il est intéressant de constater ce que Ciment disait à l’époque des divers cinéastes qui ont compté, de Tarkovski bien sûr mais aussi d’Andrei Kontchalovski, à qui il va d’ailleurs consacrer bientôt un ouvrage entier. Son article sur la comédie italienne, qui date lui aussi de la fin des années 70, souffre de la même brièveté, quand bien même il dresserait lui aussi un état des lieux significatif à l’époque de sa publication. De la même façon, si les reportages sur les tournages des films de Francesco Rosi (Le Christ s’est arrêté à Eboli) et John Boorman (Hope and Glory) saisissent quelque chose de comment le film en train de se faire répond à l’œuvre de l’auteur, à sa personne et aux grandes lignes de sa création, on ne peut que regretter que plus de pages n'y aient pas été consacrées.Boorman et Rosi font en outre partie des cinéastes auxquels Ciment rend hommage, aux côtés de cinéastes dont il a toujours apprécié le travail (Marco Bellocchio, Mike Leigh, Alain Resnais, Billy Wilder, Lucian Pintilie, Theo Angelopoulos, Joseph Losey, Jerzy Skolimowski, etc) ou d’autres dont il a aimé certains des films seulement, mais passionnément (Patrice Chéreau). Certains de ces textes ont été écrits au moment où des cinémathèques leur rendait hommage, d’autres sont des nécrologies – les circonstances dans lesquelles ils ont été conçus se sentent sans doute, mais il reste que dans tous les cas, même s’il ne quitte jamais vraiment les habits de l’analyste, Ciment ne barguigne pas son admiration.D’autres textes sont consacrés à des films ou groupes de films, comme par exemple les premiers opus tchèques de Milos Forman. Je suis pour ma part particulièrement heureux de retrouver le très bel essai que Ciment avait consacré à la Trilogie d’Apu de Satyajit Ray – ce texte avait déjà été reproduit dans une anthologie de textes de la revue Positif à l’occasion de son cinquantième anniversaire L’Amour du cinéma – 50 ans de la revue Positif (Folio), mais il est bon qu’il se trouve réédité dans ce cadre. Je me félicite également que se retrouve la défense et illustration de L’Incompris de Luigi Comencini, publiée à une époque où cela n’allait pas de soi de mettre à ce point en avant les qualités d’un film que d’aucuns traitaient comme un mélodrame de bas étage.Reste la dernière partie, intitulée « Controverses », dans laquelle Ciment a consigné certains des textes polémiques pour lesquels il est connu comme le loup blanc dans le milieu de la critique de cinéma. Ceux qui auraient entendu à la radio les échos de ses théories sur le « triangle des Bermudes » retrouveront ici le texte original datant de la fin des années 90. Un texte plus récent, consacré à la notion de canon, pourra intéresser aujourd’hui tout autant sinon davantage, mais quoi qu’il en soit je comprends pour ma part, aussi datés ces textes fussent-ils, que Ciment ne souhaite pas les escamoter, qu’il les considère comme plus que des textes de circonstance, puisqu’aussi bien, si les circonstances ont indéniablement changé, si les maux affectant la critique de cinéma ne sont plus tout à fait les mêmes, garder trace du diagnostic qu’on pouvait en faire à un moment n’est pas inutile. Cela fait partie des débats esthétiques et intellectuels au sein d’un art. Ciment aura toujours voulu participer à ce débat, et il est sain qu’il ne souhaite pas gommer sa contribution au débat, quoi qu’on veuille bien en penser par ailleurs.Des textes de nature et d’origine très variés, parfois un peu datés – mais ce n’est pas forcément un défaut de garder la trace de ce qui se disait, se pensait, s’écrivait à un moment donné – qu’on aurait toutefois souvent aimé plus longs. Mais aussi des articles et entretiens bien sentis et rédigés, qu’on a plaisir à découvrir ou à retrouver quand on les a déjà lus, comme c’est souvent mon cas, en revue au moment de leur parution. Si par nature cet ouvrage s’avère un peu plus disparate que les précédents publiés par Michel Ciment, on peut s’en accommoder aisément, et on devrait y trouver son bien, quels que soient son degré de cinéphilie et sa connaissance des auteurs et des œuvres évoqués.
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